Des journalistes qui s'engagent dans la lutte contre l'homophobie
Soumis par m6cngari le mer, 04/25/2018 - 18:54Certains journalistes Camerounais se mettent au coté des associations LGBTI dans la lutte contre l'homophobie au Cameroun
Certains journalistes Camerounais se mettent au coté des associations LGBTI dans la lutte contre l'homophobie au Cameroun
Il est et le coordonnateur régional chargé de la documentation et du plaidoyer à la Fondation Arabe pour la liberté et l’égalité. Une Ong algérienne qui défend les intérêts des communautés Lgbt et dont le membre était présent au forum des Ong des droits de l’homme qui a été organisé à Banjul en Gambie à la veille de la tenue de la 61è session et 30è anniversaire de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples.
La Commission africaine des droits de l’homme et des peuples (la Commission), réunie en sa 55ème Session ordinaire tenue du 28 avril au 12 mai 2014, à Luanda, Angola.
Lorsque l’Union Européenne a alloué un financement à l ’association de défense des homosexuels, le gouvernement camerounais fustigé cette donation qui s’apparentait à une ingérence de l’UE dans les affaires camerounaises. Le Ministre camerounais des relations extérieures, André EYEBE AYISSI s’est insurgé contre d’un partenaire au développement.
L’objectif 90-90-90 est possible, même au sein des populations clés qui ne doivent pas se sentir, à tort ou à raison, marginalisées, stigmatisées car tout le monde a droit à la santé, quel que soit la couleur de sa peau, sa religion ou ses orientations sexuelles. Dans son discours de clôture du mois camerounais du sida, et d‘ouverture de la cérémonie de célébration de la Journée mondiale du sida le 1er décembre 2017 dernier, le Ministre de la Santé Publique, André Mama Fouda a franchi un pas. Pour parler de la problématique des minorités sexuelles, il n’aurait pas fait mieux.
Peut-on traiter du droit à la santé pour les communautés LGBTI sans faire l’apologie de l’homosexualité ?
Peut-on diluer une information ? Comment traiter une information avec subtilité ? La question de l’homosexualité peut-elle être masquée dans un article qui traite de l’agression d’un homosexuel ? Les médias peuvent-ils rendre compte des activités liées à la vie et aux problèmes des communautés LGBTI sans faire la promotion de l’homosexualité ?
Dans le cadre de la lutte contre l’une des trois pandémies du siècle, les gouvernements des pays du monde entier, et les bailleurs de fonds internationaux se sont unis contre ce fléau qui a emporté des vies humaines par dizaines de millions en moins de deux décennies. Pour ce faire, de stratégie en stratégie, les acteurs à la lutte ont mis sur pied des politiques de prévention, de traitements, et d’autres mesures sociales susceptibles d’encadrer le contrôle de la pandémie du VIH/sida notamment.
Le programme des Nations Unies pour le développement forme les lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuels (Lgbt) à la compréhension de ce concept. Quelque 25,8 % des participants avaient révélé leur orientation sexuelle à un médecin ou un infirmier ; ce pourcentage variait de 11,3 % à Bertoua à 37,1 % à Douala.
En acceptant les subventions du Fonds Mondial pour le Sida, la tuberculose et le paludisme, le Cameroun a admis l’idée de l’officialisation de l’homosexualité dans le pays
On l’a eu enfin », se félicitaient les acteurs institutionnels dans la lutte contre le VIH/sida en fin d’année 2010. Le Fonds Mondial pour la Sida, la tuberculose et le paludisme venait de rendre public ses résultats pour le Round 10, synonyme de financement des projets des pays ayant fait la demande cette année 2010.
Les hommes qui aiment les hommes ne sont pas des humains. On va prétendre que c’est naturel mais on chasse parfois le naturel même s’il va revenir au galop.