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2018

MUTILATIONS GENITALES FEMININES Une pratique à la vie dure au Mali

Douleurs intenses dans les parties génitales, saignements, infections, troubles urinaires et menstruelles, complications obstétricales, fistules vésico-vaginales, sont  entre autres conséquences de la pratique de l’excision. Au Mali, 3040 femmes souffrant des conséquences de cette atrocité physique et morale, sont en train d’être traitées, assistées ou suivies, selon les statistiques officielles du ministère de la Santé.
 

Mali : Code des personnes et de la famille : L’ARTICLE 331, ARTICLE CONTROVERSE

Dans le Code civil adopté en 2011, cet article alimente la polémique entre défenseurs des droits des femmes et religieux conservateurs. Les uns estiment que le texte de loi encourage les violences faites aux femmes ; les autres soutiennent qu’il est en conformité avec les réalités sociétales et religieuses du pays. Le débat ne faiblit pas.

VIOLENCES CONJUGALES AU MALI ; Seuls des textes répressifs peuvent dissuader les maris violents

Depuis quelques années, la violence conjugale défraie régulièrement la chronique dans notre pays. Certains cas se soldent par des meurtres. Le bannissement de la violence dans le couple par les textes religieux devrait être dissuasif dans une société profondément religieuse. Mais pas pour ceux qui battent leurs femmes. Pas plus que les conventions internationales ratifiées par le pays. Il ne reste plus que l’adoption de textes spécifiques pour protéger les femmes. 

 

Violences conjugales : RIEN N’ARRETE LES MARIS VIOLENTS

Depuis quelques années, la violence conjugale défraie régulièrement la chronique dans notre pays. Certains cas se soldent par des meurtres. Le bannissement de la violence dans le couple par les textes religieux devrait être dissuasif dans une société profondément religieuse. Mais pas pour ceux qui battent leurs femmes. Pas plus que les conventions internationales ratifiées par le pays. Il ne reste plus que l’adoption de textes spécifiques pour protéger les femmes.

 

SIRA NDIAYE (BBY DEPUTE A L’ASSEMBLEE NATIONALE) ‘’La jeunesse qu’il faut pour qu’il y ait une alternance générationnelle’’

Pour qu’il y ait une alternance générationnelle, la jeunesse doit être formée, encadrée et responsabilisée dans les partis politiques. La remarque est de Sira Ndiaye. Député à l’Assemblée nationale, elle se désole du comportement et du niveau de débat des jeunes qui, dit-elle, n’honore  pas toujours les partis.

 

Est-ce que les jeunes sont bien représentés dans les instances de décision au sein de votre parti politique, l’Apr ?

GESTION DES PARTIS POLITIQUES ET DE L’ETAT :  Le règne de la gérontocratie

Le renouvellement de la classe politique tant défendu par la jeune génération peine à voir le jour. En lieu et place, c’est la gérontocratie qui règne et qui brime toute tentative d’émancipation. Les quelques statistiques disponibles et l’histoire politique récente en témoignent éloquemment.

 

Entretien avec DR Ismaila SENE (Docteur en sociologie) : ‘’Les jeunes doivent affirmer leur autonomie financière et intellectuelle’’

Si les jeunes n’arrivent pas à s’imposer dans les partis politiques, c’est que leur militantisme est sous la tutelle d’un mentor. L’affirmation est du docteur en sociologie Ismaïla Sène qui considère l’autonomie intellectuelle et financière comme première condition pour renverser la tendance

 

Le constat est que la plupart des partis politiques sont dirigés par des personnes âgées. Qu’est-ce qui explique cela ?

ABSENCE D’ALTERNANCE DANS LES PARTIS : Les papys au banc des accusés

La jeunesse sénégalaise reste partagée quant à la possibilité d’injecter du sang neuf dans les partis politiques. Les vieux sont accusés de faire de l’ombre au plus jeunes pour des intérêts personnels.

 

La place des jeunes dans les formations politiques est un sujet qui intéresse plus d’un, surtout ceux qui ne sont d’aucune obédience politique. Si les uns pensent qu’il y a possibilité de placer les vieilles personnes de la classe politique loin de la gestion du pays, d’autres croient dur comme fer que ce n’est pas demain la veille.