Homosexualité : Ce qui choque
Soumis par tidiane.kasse le lun, 02/26/2018 - 22:37La procréation, les pratiques sexuelles non sacrées, le chantage politique et administratif, et le lobbysme sont les sujets qui semblent insupporter des camerounais.
La procréation, les pratiques sexuelles non sacrées, le chantage politique et administratif, et le lobbysme sont les sujets qui semblent insupporter des camerounais.
Lorsque l’Union Européenne a alloué un financement à l ’Association de défense des homosexuels, le gouvernement camerounais fustigé cette donation qui s’apparentait à une ingérence de l’UE dans les affaires camerounaises. Le Ministre camerounais des relations extérieures, André EYEBE AYISSI s’est insurgé contre d’un partenaire au développement.
Les violations des droits de l’homme, le musellement de la presse, les déplacements des personnes à l’intérieur des pays, les migrations, le non-respect des lois et des instruments internationaux, etc. Il y a un peu plus d’un mois, les ONG africaines des droits de l’homme réunis à Banjul en Gambie ont fait le point des activités qu’ils ont menées durant l’année 2017-2017.
Le programme des Nations Unies pour le développement forme les lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuels (Lgbt) à la compréhension de ce concept.
Le Spécialiste des droits de l’homme, enseignant d’universités est aussi le promoteur de la fondation Humanus.
Pensez-vous que le gouvernement doive protéger ouvertement les populations à risque tels que les groupes marginaux ?
Pour les professionnels du sexe, les tracasseries policières constituent un goulot d’étranglement et même des contraintes majeures les empêchant de mener convenablement leurs activités.
Les tracasseries policières constituent, de nos jours, des épines aux pieds des professionnels du sexe qui les assimilent à « des contraintes majeures ».
Le Sénégal a ratifié toutes les conventions et lois concernant les Droits de l’homme. Cependant, leur application pose problème. Le plus souvent inspirés et imposés par l’Occident, ces droits ne sont en général pas conformes aux réalités socioculturelles locales. Même si par extension certains textes peuvent être reliés à des principes d’essence africaine, leur mise en œuvre reste problématique.
Elles sont venues à la politique sous l’influence de leur entourage ou d’hommes politiques médiatisés. Vivant en banlieues ou dans la capitale, leur courage les hisse aux postes de responsabilité au sein des partis ou formations politiques en Côte d’Ivoire. Si certaines font face à l’adversité pour s’imposer, d’autres demandent plus de moyens financiers pour mieux asseoir leur vision de la cité. Pôleafrique.info est allé à leur rencontre.
La mouture de l’avant projet de loi sur la parité homme/ femme dans les assemblées élues est prête depuis plus de deux mois. En attendant d’aller devant les parlementaires, les Organisations de la société civile et les Ong sont sur le terrain. Une enquête que nous avons réalisée avec le soutien de l’institut PANOS dans le cadre du projet ‘’Femmes, occupez les médias’’