Témoignage d'une Trans
Soumis par panos.admin le ven, 12/09/2016 - 10:27Une trans vivant à Abidjan explique ses déboires que la plupart des personnes comme elle endurent lorsqu'elles se rendent dans nos centres de santé.
Une trans vivant à Abidjan explique ses déboires que la plupart des personnes comme elle endurent lorsqu'elles se rendent dans nos centres de santé.
La rappeuse Zara Moussa du Niger au lancement du projet « Acteurs culturels et acteurs médiatiques en Afrique: Moteur! »
(25 Juin 2014) En marge du lancement du projet « Acteurs culturels et acteurs médiatiques en Afrique: Moteur! », trois participants venus du Mali, du Niger et de la Tunisie ont été reçus dans l'émission culturelle sur la radio télévision Sénégalaise (RTS)
L'ambiance au Lancement du projet" Acteurs culturels et acteurs médiatiques en Afrique: Moteur "
Au Mali, dans un atelier de formation à la production vidéo, les organisations de la société civile et les artistes ont collaboré à la réalisation et à la diffusion d’une capsule vidéo sur la notion de la laicité.
Au Mali, dans un atelier de formation à la production vidéo, les organisations de la société civile et les artistes ont collaboré à la réalisation et à la diffusion d’une capsule vidéo sur l' assainissant de l'environnement
Au Mali, dans un atelier de formation à la production vidéo, les organisations de la société civile et les artistes ont collaboré à la réalisation et à la diffusion d’une capsule vidéo sur l' implication des OSC dans le processus de réconciliation au Mali.
Bargny crie et s’indigne depuis plusieurs années de l’implantation de centrales à charbon. Ces industries devront s’ajouter à la Sococim qui déverse dans l’atmosphère de la ville, des boulets de poussière. Au sud comme à l’ouest, la mer avance et engloutit des maisons. La vie risque d’y devenir impossible.
On pourrait assister à une installation sans esclandres de la société Senhuile dans la commune de Fass Ngom où elle vient d’acquérir 5 000 ha. En plus d’une mise en œuvre d’une charte de gouvernance foncière, sa devancière dans la contrée à savoir la Société de cultures légumières (Scl) de Laurent Nicolas a rassuré les esprits hostiles à travers de multiples actions saluées par les villageois. Ces derniers sont visiblement prêts à accueillir l’agrobusiness qui prendrait en charge leurs préoccupations.
Dans la région de Sédhiou, de nombreux jeunes et des femmes ne disposent toujours pas de titre de propriété foncière. C’est la conséquence de la persistance du droit coutumier, le pesanteur social, adossés à une pratique culturelle pluriséculaire ainsi que l’ignorance des procédures d’affectation des terres. Des collectivités locales comme Marsassoum, les contrées historiques du Pakao, du Sonkodou et du Balantacounda restent jusqu’ici attachées à cette forme implicite d’ «ostracisme» dans le contrôle des ressources foncières.