Avec 90% des migrants subsahariens qui y transitent, le Niger subit de fortes pressions de l’Union européenne, adoucies d’incitations financières, qui l’amènent à jouer le rôle de sentinelle des frontières européennes. A partir d’Agadez, point de passage des migrants subsahariens vers le Maghreb, la répression s’organise. Mais c’est comme vouloir arrêter la mer avec ses bras.