Les violences basées sur le genre (Vbg) constituent une part importante des faits de société traités dans la presse quotidienne sénégalaise. Mais que ce soit des Faits divers devant les tribunaux, des drames familiaux rapportés aux médias, des viols ou agressions diverses, cette exposition régulière des Vbg dans les médias, au lieu de faire prendre conscience de leur gravité et des impacts multiformes qu’elles peuvent avoir sur la santé physique et mentale de la femme, voire leurs effets collatéraux sur les enfants, tend à asseoir leur banalisation.
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