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Les médias peuvent et doivent contribuer à améliorer la situation des femmes.  En effet, cette étude permet de mieux apprécier la couverture médiatique et le traitement des questions relatives aux violences faites aux femmes et à la participation politique des femmes. Elle vise à établir dans chacun des pays, une situation de référence sur la couverture actuelle des violences faites aux femmes et de la participation politique des femmes –avant la mise en oeuvre des activités du projet - par les médias sélectionnés.

L’Institut Panos Afrique de l’Ouest (IPAO), dans le cadre de la mise en oeuvre du projet « Femmes : Occupez les Médias ! », lance le Prix Régional sur le Journalisme Sensible au Genre, sous le parrainage du Bureau Régional d’ONU Femmes Afrique de l’Ouest et du Centre.

A travers ce Prix régional, l’IPAO veut créer une stimulation chez les journalistes et au sein des médias ouest-africains à produire sur les questions relatives aux droits des femmes et des contenus médiatiques plus équilibrés du point de vue genre. 

Les médias peuvent et doivent contribuer à améliorer la situation des femmes.  En effet, cette étude permet de mieux apprécier la couverture médiatique et le traitement des questions relatives aux violences faites aux femmes et à la participation politique des femmes. Elle vise à établir dans chacun des pays, une situation de référence sur la couverture actuelle des violences faites aux femmes et de la participation politique des femmes –avant la mise en oeuvre des activités du projet - par les médias sélectionnés.

Les médias peuvent et doivent contribuer à améliorer la situation des femmes.  En effet, cette étude permet de mieux apprécier la couverture médiatique et le traitement des questions relatives aux violences faites aux femmes et à la participation politique des femmes. Elle vise à établir dans chacun des pays, une situation de référence sur la couverture actuelle des violences faites aux femmes et de la participation politique des femmes –avant la mise en oeuvre des activités du projet - par les médias sélectionnés.

L'information produite par les médias sur les femmes comporte beaucoup de biais. Elle présente les femmes dans des rôles sociaux très dépassés, et le plus souvent en tant que en tant que victimes.

Selon les résultats des études précédentes menées par IPAO, les femmes représentent moins de 10% des sujets de l’information, et aussi des auteurs des discours médiatiques.

Les femmes dans les contenus médiatiques en temps de Covid-19 : La manière dont les femmes sont traitées ou sont impliquées dans le processus de traitement de l’information, reflète et grossit les travers (i.e. marginalisation de certaines cibles, sources ; préjugés dans les rôles ; vocabulaire, etc.) ; et les qualités (diversification des sujets, des sources) de l’information sur le Covid-19. En effet, l'information produite par les médias sur les femmes comporte beaucoup de biais.

Les médias peuvent et doivent contribuer à améliorer la situation des femmes.  En effet, cette étude permet de mieux apprécier la couverture médiatique et le traitement des questions relatives aux violences faites aux femmes et à la participation politique des femmes. Elle vise à établir dans chacun des pays, une situation de référence sur la couverture actuelle des violences faites aux femmes et de la participation politique des femmes –avant la mise en oeuvre des activités du projet - par les médias sélectionnés.

L’Institut Panos Afrique de l’Ouest, dans le cadre de sa mission de renforcer les capacités des journalistes à produire des contenus médiatiques socialement responsables, joue sa partition, en se proposant de doter les journalistes d’un outil simple, sans prétention aucune d’être exhaustif. Ce guide est destiné à tous les journalistes en activité dans médias africains, toute catégorie de médias confondue, qui traitent de la problématique du Covid-19.

Malgré leurs poids démographiques et les rôles croissants qu’elles jouent dans l’économie et les sphères de prise de décision publique, les médias ouest-africains continuent de maltraiter les femmes. Ils reproduisent les inégalités sociales, véhiculant des stéréotypes et persistent, le plus souvent, à ne pas donner la parole aux femmes lorsqu’il s’agit d’informer sur les questions qui interpellent toutes les couches de la population.

La présente étude qui s’inscrit dans le cadre du projet « Femmes Occupez les médias » de l’Institut PANOS Afrique de l’Ouest a pour finalité de nourrir le dialogue entre les médias, les OSC et les chefs religieux afin que l’environnement médiatique soit plus genré dans les pays couverts à savoir la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger et le Sénégal. L’étude a cherché à répondre à deux questions essentielles portant, d’une part, sur le cadre légal et règlementaire régissant les médias confessionnels, d’autre part sur la régulation du discours religieux.