C’est désormais une généralité voir un lieu commun de mentionner le fait que le Cameroun est l’un des pays reconnu pour sa répression de l’homosexualité. L’un des arguments clés de l’association pour la défense des droits des homosexuels ADEFHO était le suivant : L’article 347(bis) : « Est condamné d’une peine d’emprisonnement de six mois à cinq ans et d’une amende de 20.000 à 200.000 toute personne qui a une relation sexuelle avec une personne de son sexe » est illégal parce qu’il est en réalité une ordonnance prises par le premier chef de l’Etat Camerounais le 28 Septembre 1972.