Selon un rapport d’évaluation interne du plan de gestion des déchets issus des soins de santé, dans 38% d’établissement de soin de santé du Niger, les déchets biomédicaux sont brûlés à l’air libre et 12% ne font l’objet d’aucun traitement préalable. Une situation qui n’est pas sans conséquences sur l’émission de gaz nocifs à l’environnement et à la santé publique, notamment à Niamey. Enquête de la télévision Anfani.