Décembre 2010, après l’immolation par le feu de Mohamed Bouazizi, les citoyens contournent
la censure et le contrôle des médias établis par le pouvoir tunisien en utilisant les réseaux sociaux.
Les jeunes tunisiens utilisent largement ces outils pour relayer les informations au sein et hors de
leur pays. Le régime du président Ben Ali tombe sous la pression populaire le 14 janvier 2011. Les
médias sociaux sont alors célébrés pour avoir permis cette révolution.