Au Sénégal, les massifs forestiers n’existent pratiquement que dans les régions sud et sud-est du pays. Et ils ne sont pas autant sécurisés. Dans la région naturelle de Casamance, le conflit armé vieil de plus de 30 ans est le lit d’un trafic international de bois. Avec le changement de régime en Gambie, jadis considéré comme pays de recel des produits du trafic, un accord de protection des ressources forestières (Le Soleil, avril 2017) a été signé par les deux voisins. En guise solution, l’Etat du Sénégal révisé le Code forestier. Ainsi, le trafic illicite de bois est considéré désormais considéré comme un crime. Malgré tout, les menaces sur les forêts restent réelles.
L’objectif de ce dossier est d’outiller les journalistes avec des informations tirées de la recherche et des expériences de terrain sur le phénomène de la déforestation au Sénégal. Les éléments consignés par dans ce document pourront être exploités dans le cadre de leurs enquêtes et reportages.
Il est donc destiné aux journalistes souhaitant aborder la problématique de la disparition progressive du couvert forêt au Sénégal, ainsi que les enjeux qu’elle engendre.
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